Finit les longues experimentations atmosphériques. Ici on rentre définitivement dans l'électro la plus radicale.
The Unreality Industry donne le départ, et déja les fondements du style
Black Lung sont posés. Une mélodie lancinante et entêtante sur laquelle se pose des éclats de sons ou de rythmes rugueux. Un côté minimaliste qu'on retrouvera souvent dans ses productions. Puis les titres hardtech s'enchainent sans coupure, jusqu'à
God Was the First Cop qui lance la seconde partie de l'album. A partir de là l'ambiance pesante et déspérement froide retombe et ce jusqu'à la fin de l'album. Les morceaux sont plutôt longs et relativement répétitifs. A noter le titre
Angstlos qui est une pure merveille, du début à la fin, tant sa connotation triste et planante est bien foutue. En bref, une production changeante, pas forcément la meilleure de sa carrière, mais ô combien prometteuse !
Chroniqué par
Yragael
le 00/00/0000
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